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Une forteresse Achicourt avait autrefois une forteresse importante située sur le Crinchon
Vers 1860, au milieu des ronces, des broussailles, des sureaux, s'élevait les restes d'une forte tour, ronde, d'un diamètre de 25 mètres et dont il restait sept ou huit mètres de hauteurs. Au début du XX ème siècle, il ne restait que quelques débris en grès.
Fosse au charbon Vers la fin du 18 ème siècle des sondages furent
pratiqués à Achicourt, pour la recherche du charbon. « Et le début de ses travaux a été l'ouverture d'une fosse à Achicourt. Cette fosse «étoit » à la profondeur de 169 pieds... et le niveau d'eau montant plus vite que la foreuse à percer, pour la recherche du charbon, eût tôt fait de faire plier bagage. L'eau insurmontable contraignit donc la Société a abandonner le projet après une dépense de plus de 400000 livres. » Les registres paroissiaux permettent de préciser l'époque exacte de ces travaux : 1784 : L'an mil sept cent quatre vingt quatre le deux avril fut baptisé Houplain Valentin, le parrain fut Martin Anus, employé aux fosses à charbon à Achicourt. 28 novembre : Baptême de Eléonore, fille de J.-B. Noël, ouvrier aux fosses, etc. Il paraît dans ces registres plusieurs ouvriers, employés, charpentiers, boiseurs, occupés aux fosses à charbon à Achicourt. En 1788, il y eut un ouvrier d'Agny, Nicolas Fourmaux, tué dans ces travaux aux fosses d'Achicourt (archives de la Cure d'Agny). La rue des Fosses rappelle cet épisode (avant 1914 et aujourd'hui)
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